« Tout le monde pensait que je deviendrais un joueur de hockey », dit Baker. Mon père et son père étaient tous deux des professionnels, et je faisais partie de l’équipe nationale suisse, mais j’avais cette chose en moi qui ne cessait de dire: « Musique, musique, musique ».
Son premier album, Tomorrow May Not Be Better, a été incroyablement bien accueilli. L’album se classe #3 (derrière seulement David Guetta et les Red Hot Chili Peppers) et a été certifié platine en Suisse, où Baker a remporté le prestigieux Prix Walo du meilleur artiste. Il a enchainé avec deux albums qui atteignent les deux plus hautes places des charts. Baker est devenu un tel nom qu’il est mme apparu en tant que coach lors de la troisième saison de « The Voice » en Belgique.
Compte tenu de son succès remarquable, il aurait été facile pour Bastian Baker de se reposer sur ses lauriers et de garder le cap pour son prochain album, mais l’auteur-compositeur ambitieux ne compte pas en rester là. « Je ne vois pas ce nouvel album comme mon quatrième », explique Baker. « Je le vois comme un deuxième début. Je voulais me pousser à essayer de nouvelles sonorités et écrire avec de nouvelles personnes pour cet album, pour créer quelque chose de différent et travailler sans frontières ni limites. »
Baker a déménagé de Lausanne à Nashville, où il a collaboré avec divers auteurs-compositeurs et producteurs, dont Jacquire King (Foy Vance, Kings of Leon), réalisant plus de 60 titres en un an, plus puissants et fédérateurs que tout ce qu’il a pu faire auparavant, tout en conservant cet éclat singulier et intime qui définit toujours son style.